AUDIENCES DU NONCE DU PAPE
Audience particulière du Nonce
Le nonce a toujours une audience du Roi, avant son entrée officielle, et même plusieurs si cela est nécessaire.
Pour avoir cette audience particulière, le nonce s’adresse à l’introducteur des ambassadeurs, qui transmet la demande au Roi, et avertit le secrétaire d’état aux affaires étrangères.
Le nonce se rend, incognito, chez le Roi dans ses carrosses. A Versailles, il descend dans la cour des Princes ; il est reçu, par le secrétaire ordinaire du Roi à la conduite des ambassadeurs, dans la salle des ambassadeurs qui se trouve au rez de chaussée de la Vieille Aile. Comme il n’a pas encore vu le Roi, son carrosse ne peut pas entrer dans la cour du château.
L’introducteur des ambassadeurs, après avoir pris l’ordre du Roi, mène le nonce à l’audience, en marchant à sa gauche sur la même ligne sans lui faire rendre aucun honneur.
Cette audience a toujours lieu dans le Cabinet du Roi. Il est debout, sans chapeau et sans gants, et n’a pas de fauteuil derrière lui comme à l’accoutumé. Le nonce lui fait trois profondes révérences ; il ne présente pas le Bref du Pape lors de cette audience. Il le fera lors de son Entrée Publique.
A l’issue de cette audience particulière, le nonce se retire en faisant de profondes révérences. L’introducteur des ambassadeurs le ramène où il l’a pris ; puis le nonce retourne chez lui, à l’Hôtel de Cluny à Paris, comme il est venu.
Dès ce moment, le nonce commence à faire toutes fonctions de la Nonciature ; mais sans éclat et sans cérémonie, jusqu’au jour de son Entrée Publique.
Pour cette audience particulière, seul le secrétaire d’état aux affaires étrangère y assiste. L’introducteur des ambassadeurs se retire dès qu’il a conduit le nonce dans le Cabinet du Roi.
Pour avoir cette audience particulière, le nonce s’adresse à l’introducteur des ambassadeurs, qui transmet la demande au Roi, et avertit le secrétaire d’état aux affaires étrangères.
Le nonce se rend, incognito, chez le Roi dans ses carrosses. A Versailles, il descend dans la cour des Princes ; il est reçu, par le secrétaire ordinaire du Roi à la conduite des ambassadeurs, dans la salle des ambassadeurs qui se trouve au rez de chaussée de la Vieille Aile. Comme il n’a pas encore vu le Roi, son carrosse ne peut pas entrer dans la cour du château.
L’introducteur des ambassadeurs, après avoir pris l’ordre du Roi, mène le nonce à l’audience, en marchant à sa gauche sur la même ligne sans lui faire rendre aucun honneur.
Cette audience a toujours lieu dans le Cabinet du Roi. Il est debout, sans chapeau et sans gants, et n’a pas de fauteuil derrière lui comme à l’accoutumé. Le nonce lui fait trois profondes révérences ; il ne présente pas le Bref du Pape lors de cette audience. Il le fera lors de son Entrée Publique.
A l’issue de cette audience particulière, le nonce se retire en faisant de profondes révérences. L’introducteur des ambassadeurs le ramène où il l’a pris ; puis le nonce retourne chez lui, à l’Hôtel de Cluny à Paris, comme il est venu.
Dès ce moment, le nonce commence à faire toutes fonctions de la Nonciature ; mais sans éclat et sans cérémonie, jusqu’au jour de son Entrée Publique.
Pour cette audience particulière, seul le secrétaire d’état aux affaires étrangère y assiste. L’introducteur des ambassadeurs se retire dès qu’il a conduit le nonce dans le Cabinet du Roi.
Première audience publique du Nonce
Lorsque le nonce demande le jour de son Entrée, il demande aussi celui de sa première audience ; et le Roi ne met ordinairement qu’un jour d’intervalle entre les deux.
L’introducteur des ambassadeurs avertit le prince qui doit accompagner le nonce à cette audience et aussi à son Entrée ; et avertit aussi le Grand Chambellan de France, le premier gentilhomme de la chambre du Roi et le Grand Maître de la Garde-Robe de se trouver à l’audience, derrière la chaise du Roi.
Le capitaine des gardes du corps de quartier est averti, de se trouver à la porte de la salle des gardes, pour recevoir le nonce.
Le secrétaire ordinaire du Roi à la conduite des ambassadeurs avertit le capitaine-colonel des Cent Suisses de la Garde, le Grand Prévôt de l’Hôtel, le capitaine des gardes de la porte et les majors des gardes françaises et suisses de faire prendre les armes au passage du nonce.
Le bureau de la Maison du Roi est averti par un billet du secrétaire ordinaire du Roi à la conduite des ambassadeurs, seulement dans le cas où l’audience se déroule hors de Paris. Dans ce cas, le Roi donne à dîner au nonce et à sa suite.
Le jour de l’audience, le prince désigné par le Roi et l’introducteur des ambassadeurs vont prendre le nonce, à Paris, dans les carrosses du Roi et de la Reine. Le nonce se trouve en camail, rochet et mantelet.
Les régiments des gardes françaises et suisses se mettent sous les armes, leurs officiers à leur tête ; les tambours appellent au passage du nonce.
L’entrée dans la cour se fait dans l’ordre suivant : le carrosse du prince ; les estafiers du nonce ; les pages et autres domestiques du nonce à cheval ; le carrosse du Roi ; le carrosse de la Reine ; le carrosse du nonce ; les carrosses de la suite. A son passage dans la cour, les gardes de la porte et les gardes de la Prévôté sont sous les armes en haie.
Le nonce descend dans la salle des ambassadeurs, située au rez de chaussée de la Vieille Aile, où le prince lui tient compagnie, pendant que l’introducteur des ambassadeurs va prendre l’ordre du Roi pour l’heure de l’audience.
Le nonce est conduit, à l’audience, par le prince et par l’introducteur des ambassadeurs, ayant le prince à sa droite et l’introducteur des ambassadeurs à sa gauche. Les Cent Suisses de la Garde, en habits de cérémonie, sont des deux côtés de l’escalier, la hallebarde à la main ; leurs officiers à la tête. Les gardes du corps sont, sous les armes, en haie, dans la salle des gardes. Le capitaine des gardes du corps, en quartier, se trouve à la porte de la salle des grades, reçoit le nonce au-dedans, et l’accompagne, partageant sa droite et marchant devant le prince, en sorte que ni l’un ni l’autre, se sont directement à côté du nonce.
Les huissiers ouvrent les deux battants des portes à mesure que le cortège du non entre dans la chambre du Roi ; le secrétaire ordinaire du Roi à la conduite des ambassadeurs, qui marche à la tête du cortège, fait faire place, et range à droite et à gauche pour rendre le passage plus libre.
La livrée du nonce demeure dans la première antichambre.
L’audience se donne ordinairement dans la Chambre du Roi à la ruelle du lit dans la balustrade.
Le Roi est assis dans son fauteuil ; les princes du sang sont à ses côtés à droite et à gauche ; le Grand Chambellan de France, les premiers gentilshommes de la chambre, le Grand Maître de la Garde Roe sont derrière le fauteuil du Roi.
Le prince, le capitaine des gardes du corps et l’introducteur des ambassadeurs l’accompagnent jusqu’à la balustrade.
Lorsque le nonce commence à parler, le Roi se couvre et fait couvrir le nonce en même temps. Les princes du sang se couvrent aussi, le Roi ne veut pas qu’ils soient découverts lorsque le nonce ne l’est pas.
Louis XIV accorde le même honneur aux princes légitimés, et aux Maisons de Lorraine, de Savoie, de Rohan et de Bouillon, quoiqu’ils soient hors de la balustrade.
Le Roi se découvre, par honnêteté, lorsque le nonce se découvre, ce qui arrive toutes les fois qu’il prononce le nom du Pape ou celui du Roi, ou qu’il entend du Roi le nom du Pape.
Le nonce, en finissant son compliment présente, au Roi, le Bref du Pape ; le Roi le reçoit sans l’ouvrir, et répond au compliment du nonce.
Comme cette cérémonie n’est qu’une action de cérémonie, il ne s’y traite, ordinairement, d’aucune affaire.
L’audience finie, le nonce se retire avec de profondes révérences ; le Roi le salue, le voit partir en demeurant debout, découvert et ne fait aucun pas.
Le prince, le capitaine des gardes du corps et l’introducteur des ambassadeurs rejoignent le nonce à la sortie de la balustrade.
Pendant ce temps, le Roi donne, le Bref du Pape, au secrétaire d’état aux affaires étrangères.
Tant que le nonce n’est pas sorti de la chambre, le Roi y reste.
Le nonce s’en retourne à la salle des ambassadeurs dans le même ordre qu’à l’aller.
Ensuite le nonce est traité, à dîner, par les officiers du Roi. Le prince le mène à la salle du repas, et lui fait les honneurs de la Table. On sert, en même temps, d’autres tables selon que le cortège est nombreux.
Après le dîner, le prince raccompagne, le nonce, à la salle des ambassadeurs, où il attend l’heure de l’audience de la Reine, et le cas échéant, celles de M. le Dauphin et de Mme la Dauphine si elles ont lieu le même jour.
Après ces différentes audiences, il retourne à Paris ; seul l’introducteur des ambassadeurs le raccompagne dans les carrosses du Roi et de la Reine. Il a les honneurs des gardes françaises et suisses à son passage.
L’introducteur des ambassadeurs avertit le prince qui doit accompagner le nonce à cette audience et aussi à son Entrée ; et avertit aussi le Grand Chambellan de France, le premier gentilhomme de la chambre du Roi et le Grand Maître de la Garde-Robe de se trouver à l’audience, derrière la chaise du Roi.
Le capitaine des gardes du corps de quartier est averti, de se trouver à la porte de la salle des gardes, pour recevoir le nonce.
Le secrétaire ordinaire du Roi à la conduite des ambassadeurs avertit le capitaine-colonel des Cent Suisses de la Garde, le Grand Prévôt de l’Hôtel, le capitaine des gardes de la porte et les majors des gardes françaises et suisses de faire prendre les armes au passage du nonce.
Le bureau de la Maison du Roi est averti par un billet du secrétaire ordinaire du Roi à la conduite des ambassadeurs, seulement dans le cas où l’audience se déroule hors de Paris. Dans ce cas, le Roi donne à dîner au nonce et à sa suite.
Le jour de l’audience, le prince désigné par le Roi et l’introducteur des ambassadeurs vont prendre le nonce, à Paris, dans les carrosses du Roi et de la Reine. Le nonce se trouve en camail, rochet et mantelet.
Les régiments des gardes françaises et suisses se mettent sous les armes, leurs officiers à leur tête ; les tambours appellent au passage du nonce.
L’entrée dans la cour se fait dans l’ordre suivant : le carrosse du prince ; les estafiers du nonce ; les pages et autres domestiques du nonce à cheval ; le carrosse du Roi ; le carrosse de la Reine ; le carrosse du nonce ; les carrosses de la suite. A son passage dans la cour, les gardes de la porte et les gardes de la Prévôté sont sous les armes en haie.
Le nonce descend dans la salle des ambassadeurs, située au rez de chaussée de la Vieille Aile, où le prince lui tient compagnie, pendant que l’introducteur des ambassadeurs va prendre l’ordre du Roi pour l’heure de l’audience.
Le nonce est conduit, à l’audience, par le prince et par l’introducteur des ambassadeurs, ayant le prince à sa droite et l’introducteur des ambassadeurs à sa gauche. Les Cent Suisses de la Garde, en habits de cérémonie, sont des deux côtés de l’escalier, la hallebarde à la main ; leurs officiers à la tête. Les gardes du corps sont, sous les armes, en haie, dans la salle des gardes. Le capitaine des gardes du corps, en quartier, se trouve à la porte de la salle des grades, reçoit le nonce au-dedans, et l’accompagne, partageant sa droite et marchant devant le prince, en sorte que ni l’un ni l’autre, se sont directement à côté du nonce.
Les huissiers ouvrent les deux battants des portes à mesure que le cortège du non entre dans la chambre du Roi ; le secrétaire ordinaire du Roi à la conduite des ambassadeurs, qui marche à la tête du cortège, fait faire place, et range à droite et à gauche pour rendre le passage plus libre.
La livrée du nonce demeure dans la première antichambre.
L’audience se donne ordinairement dans la Chambre du Roi à la ruelle du lit dans la balustrade.
Le Roi est assis dans son fauteuil ; les princes du sang sont à ses côtés à droite et à gauche ; le Grand Chambellan de France, les premiers gentilshommes de la chambre, le Grand Maître de la Garde Roe sont derrière le fauteuil du Roi.
Le prince, le capitaine des gardes du corps et l’introducteur des ambassadeurs l’accompagnent jusqu’à la balustrade.
Lorsque le nonce commence à parler, le Roi se couvre et fait couvrir le nonce en même temps. Les princes du sang se couvrent aussi, le Roi ne veut pas qu’ils soient découverts lorsque le nonce ne l’est pas.
Louis XIV accorde le même honneur aux princes légitimés, et aux Maisons de Lorraine, de Savoie, de Rohan et de Bouillon, quoiqu’ils soient hors de la balustrade.
Le Roi se découvre, par honnêteté, lorsque le nonce se découvre, ce qui arrive toutes les fois qu’il prononce le nom du Pape ou celui du Roi, ou qu’il entend du Roi le nom du Pape.
Le nonce, en finissant son compliment présente, au Roi, le Bref du Pape ; le Roi le reçoit sans l’ouvrir, et répond au compliment du nonce.
Comme cette cérémonie n’est qu’une action de cérémonie, il ne s’y traite, ordinairement, d’aucune affaire.
L’audience finie, le nonce se retire avec de profondes révérences ; le Roi le salue, le voit partir en demeurant debout, découvert et ne fait aucun pas.
Le prince, le capitaine des gardes du corps et l’introducteur des ambassadeurs rejoignent le nonce à la sortie de la balustrade.
Pendant ce temps, le Roi donne, le Bref du Pape, au secrétaire d’état aux affaires étrangères.
Tant que le nonce n’est pas sorti de la chambre, le Roi y reste.
Le nonce s’en retourne à la salle des ambassadeurs dans le même ordre qu’à l’aller.
Ensuite le nonce est traité, à dîner, par les officiers du Roi. Le prince le mène à la salle du repas, et lui fait les honneurs de la Table. On sert, en même temps, d’autres tables selon que le cortège est nombreux.
Après le dîner, le prince raccompagne, le nonce, à la salle des ambassadeurs, où il attend l’heure de l’audience de la Reine, et le cas échéant, celles de M. le Dauphin et de Mme la Dauphine si elles ont lieu le même jour.
Après ces différentes audiences, il retourne à Paris ; seul l’introducteur des ambassadeurs le raccompagne dans les carrosses du Roi et de la Reine. Il a les honneurs des gardes françaises et suisses à son passage.
Visite du Nonce aux secrétaires d'état
Dès que le nonce a eu son audience particulière avec le Roi, il va faire ses premières visites aux secrétaires d’état, sans attendre son audience publique. Les secrétaires d’état le visitent ensuite.
La seule visite obligatoire est celle qu’il rend au secrétaire d’état aux affaires étrangères.
La seule visite obligatoire est celle qu’il rend au secrétaire d’état aux affaires étrangères.
Audience du Nonce chez la Reine
Cette audience se déroule, le même jour que l’audience publique accordée par le Roi, mais après le dîner de la Reine.
Dès que la Reine a dîné, l’introducteur des ambassadeurs vient prendre l’heure de l’audience, puis retourne en avertir le nonce qui attend dans la salle des ambassadeurs.
La marche se fait en allant et en revenant avec le même cortège qu’à l’audience publique accordée par le Roi, excepté qu’il n’y a pas tant de suisses ni de gardes du corps sous les armes.
Le nonce entre dans la Chambre de la Reine, la trouve au cercle où elle est accompagnée des princes et des duchesses, et quelque fois des princesses du sang. Il la salue par trois profondes révérences en l’approchant. Le prince désigné par le Roi pour accompagner le nonce, l’introducteur des ambassadeurs et l’officier des gardes du corps ne le quitte pas car la Reine ne donne jamais d’audience dans son balustre mais à son cercle.
La Reine se lève dès qu’elle aperçoit le nonce, et lui rend son salut.
Comme il a le droit de parler couvert, le nonce met son bonnet après avoir commencé son discours, mais l’ôte dans l’instant et ne le remet plus. Le nonce finissant son compliment, la Reine lui répond. Il lui présente, ensuite, le Bref du Pape, et se retire comme il est venu.
La Reine donne, à son secrétaire des commandements le Bref du Pape.
Dès que la Reine a dîné, l’introducteur des ambassadeurs vient prendre l’heure de l’audience, puis retourne en avertir le nonce qui attend dans la salle des ambassadeurs.
La marche se fait en allant et en revenant avec le même cortège qu’à l’audience publique accordée par le Roi, excepté qu’il n’y a pas tant de suisses ni de gardes du corps sous les armes.
Le nonce entre dans la Chambre de la Reine, la trouve au cercle où elle est accompagnée des princes et des duchesses, et quelque fois des princesses du sang. Il la salue par trois profondes révérences en l’approchant. Le prince désigné par le Roi pour accompagner le nonce, l’introducteur des ambassadeurs et l’officier des gardes du corps ne le quitte pas car la Reine ne donne jamais d’audience dans son balustre mais à son cercle.
La Reine se lève dès qu’elle aperçoit le nonce, et lui rend son salut.
Comme il a le droit de parler couvert, le nonce met son bonnet après avoir commencé son discours, mais l’ôte dans l’instant et ne le remet plus. Le nonce finissant son compliment, la Reine lui répond. Il lui présente, ensuite, le Bref du Pape, et se retire comme il est venu.
La Reine donne, à son secrétaire des commandements le Bref du Pape.
Audience de Monsieur le Dauphin et de Mme la Dauphine au Nonce
Les audiences, de M. le Dauphin et de Mme la Dauphine, n’ont rien de particulier quand elles se donnent le même jour que celles du Roi et de la Reine. Ce sont alors les mêmes honneurs et les mêmes cérémonies.
M. le Dauphin et Mme la Dauphine font, pour lui, chacun chez soi ce qui est fait chez le Roi et la Reine. Le nonce fait de même pour M. le Dauphin et Mme la Dauphine.
Si l’audience a lieu un autre jour, le nonce n’a pas les carrosses du Roi et de la Reine pour l’amener à la Cour. Il n’a pas non plus les honneurs des armes, et n’est accompagné que de l’introducteur des ambassadeurs.
M. le Dauphin et Mme la Dauphine font, pour lui, chacun chez soi ce qui est fait chez le Roi et la Reine. Le nonce fait de même pour M. le Dauphin et Mme la Dauphine.
Si l’audience a lieu un autre jour, le nonce n’a pas les carrosses du Roi et de la Reine pour l’amener à la Cour. Il n’a pas non plus les honneurs des armes, et n’est accompagné que de l’introducteur des ambassadeurs.